La Ligue des écrivains femmes du Maroc lance son premier prix maghrébin
La Ligue des écrivains femmes du Maroc a lancé récemment un prix annuel de la créativité dans le domaine de la poésie, de la nouvelle, du roman et du théâtre baptisée Prix de l’écrivaine maghrébine, a-t-on appris de la presse marocaine
La Ligue a expliqué dans son communiqué que la création de ce prix « s’inscrit dans le cadre de la promotion d’une culture de créativité, de qualité et d’excellence, en hissant le niveau de conscience esthétique et cognitive et en encourageant l’émancipation et la cohésion. »
La même source a indiqué que ce prix vise à enrichir la scène culturelle maghrébine et à renforcer le partenariat culturel entre les écrivaines maghrébines en les encourageant à booster leur créativité et à s’inscrire dans un esprit de compétition. Chaque édition de ce prix portera le nom d’une femme maghrébine qui se serait distinguée dans le domaine de la culture et de la littérature, précise le communiqué, ajoutant que cette première édition portera le nom de la regrettée écrivaine marocaine Touria Lihi.
Par ailleurs, la Ligue des écrivains femmes du Maroc a ouvert la réception des candidatures pour cette première édition du 1er juillet au 30 octobre 2021. L’annonce des lauréates du prix est prévue pour le Salon international de l’édition et du livre de Casablanca.
Les œuvres éligibles sont celles écrites en arabe classique, en tamazight, en dialecte hassani ou en langues étrangères, et n’ayant pas fait l’objet d’une publication. Les textes doivent être envoyés sous format papier à l’adresse de la Ligue au Club de la Presse au Maroc : Avenue Mohamed El Yazidi, quartier Hassan à Rabat, ainsi que sous format électronique à l’adresse mail arrabita2012@gmail.com, le tout joint d’une biographie de l’auteur.
Un prix sera décerné aux écrivaines remportant les premières places, ainsi qu’une récompense pour celles arrivant en deuxième et troisième places, avec la publication de leurs œuvres.
Bonjour, je sais qu’il s’agit d’une dame qui avait le cran de parler de sujets prohibés, même si d’autres en ont parlé sans trop d’éclats. Je sais également que dès qu’il s’agit d’une femme, on doit l’applaudir coûte que coûte pour ne pas risquer de s’attirer des attaques idiotes. Mais faire un concours rien que pour les femmes relève d’une mentalité malade et dont le coeur est infesté de rancoeur vis à vis de l’homme. Vous êtes des outils manipulés bonnement de la part dune politique qui vise à détourner l’attention sur la vraie problématique sociale, celle de la lutte des classes.