« Je suis libre ; personne ne peut m’interdire de m’exprimer » (Noureddine Ait Hamouda, fils du colonel Amirouche)

 « Ce n’est pas moi qui ai lancé la polémique ; c’est l’histoire qui le dit. S’ils veulent engager une démarche judiciaire contre moi, je n’ai pas de problèmes. Je ne vais pas me taire et je vais continuer à parler de l’histoire », a déclaré Noureddine Ait Hamouda dans une vidéo publiée sur les réseaux sociaux, réagissant aux propos de militants et avocats qui allaient déposer plainte contre lui.

Dans le même sillage, Ait Hamouda a évoqué les raisons qui l’ont poussé à dévoiler ses pensées concernant ces personnalités historiques. « Ce qui m’a fait dire cela, est le sujet du BEM, destiné à des enfants et qui se base sur une phrase débile. « Je suis amazigh, arabisé par l’islam. » C’est pour cela que j’ai décidé de ne plus me taire. Depuis quand l’islam arabise-t-il ? La prochaine fois, je vais m’intéresser à Ibn Badis lui-même », a-t-il dit.

Revenant sur le Hirak du 22 février à Tizi-Ouzou, le fils du colonel Amirouche a rappelé qu’il n’a jamais participé aux marches du vendredi qui scandaient des slogans en arabe. « Je suis libre ; personne ne peut m’interdire de m’exprimer. Ils ne peuvent pas déposer plainte, car la justice va dévoiler d’autres sujets », a-t-il expliqué.

Par ailleurs, abordant la question des caricatures du « prophète de l’islam », Mahomet, Ait Hamouda a expliqué qu’il ne réagissait pas à ce genre d’affaires. Cependant, s’est-t-il demandé « l’Emir Abdelakder est-il un prophète ? » « Il n’ont pas réagi à ce que dit l’histoire, mais au pourquoi j’évoque le parcours de l’Emir », a-t-il conclu.

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