Lettre à Abdou Elimam
Mon cher Abdou, La mémoire vivante, cette mémoire vibrante des langues algériennes natives, maternelles ou de socialisation, retiendra, inaltérablement, le souffle exaltant de ta perspicacité déterminée. Une perspicacité qui n’a jamais cessé de retrousser, énergiquement, les manches de ses neurones étonnés. Et de réveiller, inlassablement, les tonalités faussement engourdies de ces langues qui sont l’enseigne […]
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